Vincent et Voleak sont acrobates, Sacha et Alice font du théâtre. Ils sont diplômés d’écoles d’art prestigieuses, ont trente ans à peine et des parcours en plein essor. Ils ont décidé d’inventer ensemble un spectacle dans lequel cirque et théâtre vont se mêler : tous vont nous parler et faire des acrobaties, dans un élan de vie, de partage et d’entraide !

Et si notre vie n’était qu’une succession de ruptures ? Séparation de la naissance, grands départs, chagrins d’amour, actes d’émancipation… S’appuyant sur un livre de Claire Marin qui a connu un franc succès en librairie, ces quatre jeunes artistes partageront avec nous leur propre vision des ruptures. De la fracture péroné-tibia vécue par Vincent au jour où Voleak a quitté son pays natal pour la France, ils tisseront une partition qui va nous émouvoir autant que nous surprendre.

Entrer dans le chapiteau de Johann Le Guillerm, c’est découvrir le laboratoire d’un artiste génial, qui réinterroge les lois physiques du monde. C’est avec une immense joie que nous l’accueillons pour la toute première fois à l’Espace Cirque avec Terces, une création hypnotique, dense et sublime !

Avec sa longue natte, son manteau de pirate et son regard bleu acier, Johann Le Guillerm semble sorti d’un autre monde. Face à ses objets et machines de bois, de métal ou de papier, il invente des corps-à-corps insensés : tout en précision et en intensité, il bouscule nos repères, repousse le déséquilibre et défie la gravité. C’est d’une beauté et d’une puissance poétique inouïes.

Un « décrochez-moi-ça », en français désuet, cela désigne une ancienne boutique de fripes, où tous les vêtements étaient accrochés en hauteur. Et des vêtements, il y en aura beaucoup dans ce spectacle de cirque et de manipulation d’objets ! Imaginé par une compagnie qui a tourné partout en France et en Europe avec Bêtes de foire, sa précédente création, on peut s’attendre à une merveille d’artisanat, de techniques de cirque et de trouvailles mécaniques.

Tout près des artistes, dans un petit chapiteau qui nous réserve bien des surprises, on verra apparaître des empilements de manteaux, des chapeaux manipulés par un homme lui-même manipulé, des corps flottants et swinguant dans les airs… Le tout en musique, avec un sens du détail qui force l’admiration : l’esprit forain par excellence !

Des guirlandes lumineuses, et des gradins en cercle, sur lesquels on se serre : chez l’Attraction Céleste, on se sent tout de suite les bienvenus ! Elle, gouailleuse et généreuse, met un point d’honneur à retenir nos prénoms ; lui, dans sa bulle, nous sourit gentiment. Munis de leurs instruments, clarinette et accordéon, ces deux personnages déploient devant nous un cirque bien à eux, tissé d’objets en fil-de-fer, de

délicatesse et de petits riens improbables. Mais l’important est ailleurs : dans ce qui se joue entre eux, que l’on devine soudain, et nous va droit au coeur.

Avec L’Empreinte, Servane Guittier et Antoine Manceau nous font rire, nous émerveillent et nous font pleurer dans un même mouvement, tant leur talent et leur sensibilité font mouche. Un arc-en-ciel d’émotions, pour un spectacle authentique qui marque durablement.

Pandax, c’est d’abord une idée comme on en a rarement vu : installer une voiture sous le chapiteau, et construire autour un scénario tissé d’acrobaties de très haut niveau ! Entassés dans une Fiat Panda vert foncé, les cinq acrobates jouent cinq frères, de retour de la crémation de leur père avec l’urne funéraire. Ils roulent (pour de vrai), ils se disputent… et les prouesses surgissent ! Portés acrobatiques, lancer de couteaux, gags divers, mât chinois, bascule : le moins que l’on puisse dire, c’est que ces cinq garçons débordent d’idées et d’énergie pour les exécuter ! Au son des chansons jazz et klezmer interprétées en direct par trois musiciennes, ils tiennent du début à la fin leur scénario, tandis que leurs corps s’envolent de plus en plus haut. Un tour de force jubilatoire !

Tête brûlée du cirque contemporain, Yann Ecauvre n’a pas son pareil pour imaginer des projets audacieux qui nous bousculent en profondeur. Après avoir mis en scène un spectacle d’acrobaties autour d’une montgolfière, ou envoyé en l’air les musiciens du Surnatural Orchestra, il nous propose de nous interroger sur notre rapport au risque, à travers une conférence empirique et spectaculaire qu’il va mener avec nous.

L’originalité, c’est que pour que l’expérience fonctionne, il est indispensable de ne pas trop en savoir. On se contentera donc de dire que ce spectacle ne laisse personne indifférent, et qu’au sein de l’équipe de L’Azimut, on estime que c’est l’un des projets les plus politiques et osés que l’on ait eu l’occasion d’accueillir ! À vous de vous faire une idée : on s’en reparle après ?

Hauts à paillettes, petites robes noires, chemises seventies : tout le monde s’est mis sur son 31 sous le chapiteau de Cirque Pardi! Semblant tout droit sortie d’un film, cette bande de personnages hauts en couleurs nous convie à une grande fête des non-conformistes, où le trapèze, le vélo acrobatique, les portés, la danse et la musique live sont aussi de la partie.

Comme dans un rêve halluciné, un tableau chasse l’autre pour nous entraîner dans une succession de saynètes et de visions fugaces. Là, un clown blanc en errance grimpe sur les épaules d’un sportif en chaussettes montantes ; ici, un couple s’aime et se déchire en accéléré, comme dans un film de cinéma muet ; tandis que dans les airs, un funambule entreprend une traversée aussi sublime que désespérée… Drôle et désenchanté, puissant et poétique, punk et magnifique, voici de quoi réchauffer l’hiver !

Ombres portées est le spectacle qui a conquis les jeunes programmateurs de notre Petit Comité Artistique. On les comprend, tant cette création est d’une beauté stupéfiante ! En une succession de tableaux hypnotiques, entre ombres et lumières, six interprètes déploient devant nous un langage scénique époustouflant, à la frontière du cirque, de la danse et du théâtre.

Sylvie Mugica-Delaire a 60 ans, et presque autant d’années sur la piste : dès son enfance, elle a accompagné ses parents, artistes de cirque fondateurs du cirque Morallès, dans leurs tournées sur les routes.

Trapéziste, elle a ensuite repris le flambeau de la compagnie avec ses frères et soeurs, avec son mari Bernard et avec leurs enfants. Sous un petit chapiteau à l’ambiance chaleureuse, son trapèze au-dessus d’elle, Sylvie se raconte : c’est quoi, une vie dédiée au cirque ? C’est comment, de passer de ville en ville, de monter le chapiteau, de jouer tous les soirs, d’élever des enfants au milieu d’un cirque ?

Six acrobates, trois trampolines et des prouesses en folie

Six garçons qui jaillissent de partout, bondissent, rebondissent, se frôlent : Esquive, c’est un ballet vertigineux pour six acrobates et trois trampolines, d’une fluidité et d’une précision incroyables ! Devant cette performance où le mouvement ne s’arrête jamais, on retient son souffle et on écarquille les yeux.

Évoluant avec une aisance impressionnante d’un trampoline à un autre, les jeunes interprètes n’ont de cesse de défier la gravité, grâce à un dispositif scénique qui révèle peu à peu ses secrets. Corps en tension, lumières soignées et riffs de guitare électrique, Esquive pousse très haut l’énergie et nous régale d’un feu d’artifice de pirouettes hypnotiques.

« Trampoliniste depuis 20 ans, Gaëtan Levêque a beaucoup contribué au renouveau de sa discipline. » La Terrasse, 2020

 À partir de 6 ans

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Bal acrobatique avec huit artistes et un clown-DJ

Ce soir, c’est bal à L’Azimut ! Et pas n’importe quel bal : évoluant avec aisance sur le parquet, les huit danseurs sont aussi des acrobates de cirque. Assis tout autour d’eux, on est soufflés par la beauté de leurs mouvements et par la facilité avec laquelle ils transforment une petite valse en duo de portés acrobatiques !

Clown, comédien et artiste de beatbox, un DJ touche-à-tout gère l’ambiance : de la valse à la salsa, du tango à la transe, il n’y a finalement que quelques pas de danse ! Tous ensemble, on se laisse emporter par l’énergie communicative des artistes, et on finit par embrasser la fête, qui se prolonge en DJ set. Un « grand soir » dont on va se souvenir !

« Transformées par le cirque et par le mouvement collectif, les danses populaires deviennent des espaces de liberté magnifiques, où tout peut advenir. » Politis, 2021

 À partir de 8 ans

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Popcorns et ascension à dix mètres de hauteur

L’équilibriste Olivier Debelhoir est un artiste génial qui cultive le goût des propositions insolites. Pour Un soir chez Boris, il nous accueillait dans sa yourte de trappeur. Cette fois, il s’installe sur un stade de foot. Et comme Olivier Debelhoir ne fait vraiment rien comme tout le monde, il monte un vrai campement, sur lequel on s’active pour faire du feu et des popcorns.

Et le spectacle, dans tout ça ? Présenté le vendredi soir et le samedi après-midi, Une pelle, c’est une ascension pour deux comédiens. Ils s’équipent, s’agrippent l’un à l’autre et prennent le départ sur un fil qui va les emmener à dix mètres de hauteur. C’est simple, spectaculaire, métaphysique et surtout très drôle. Une création inclassable !

« Accompagné d’un type presque aussi barré que lui, Olivier Debelhoir nous embarque jusqu’à ses sommets absurdes, enchanteurs. » La Terrasse, 2021

 À partir de 8 ans

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Entre ombre et lumière, le rêve de cirque d’une créatrice hors pair

Ne vous fiez pas à l’ambiance de boîte de nuit survoltée qui règne sous le chapiteau : Oraison est un spectacle d’une puissance poétique inouïe, dont les images vont s’imprimer en vous avec une force rare. Derrière un voile, on se laisse captiver par ces tableaux aussi sombres que magnifiques, aux côtés d’une fildefériste en quête de sens, d’un équilibriste mélancolique, d’une lanceuse de couteaux féroce et d’une musicienne aux multiples talents.

Fille des cofondateurs du Cirque Rasposo, une compagnie qui a marqué l’histoire du cirque contemporain, l’acrobate Marie Molliens est aujourd’hui reconnue comme une « écrivaine de cirque » hors pair. Elle signe avec cette Oraison un spectacle d’une beauté déchirante, aux jeux de lumière d’une rare subtilité.

« Un énorme et sublime coup de cœur. » La Provence, 2021

 À partir de 10 ans

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La performance trash et cash d’un formidable artiste de cirque

On a connu Sébastien Wojdan chez Galapiat Cirque, une joyeuse bande d’acrobates qui ont cherché à réinventer les manières de faire du cirque ensemble. Il s’y distinguait déjà par sa façon de pousser toujours plus loin le lancer de couteaux ou le jonglage avec des marteaux. À 42 ans, cette tête brûlée se met à nu dans un spectacle qui ne va laisser personne indifférent !

Dans un décor entièrement blanc, des murs à la cafetière, Sébastien Wojdan dévoile ses obsessions pour mieux leur tordre le cou. Dans des situations risquées mais toujours maîtrisées, il se met au bord de la rupture, flirte avec le danger et orchestre une performance troublante et fascinante. Entre grâce et noirceur, Blanc fait rayonner le talent d’un artiste-performer stupéfiant de justesse.

« Sébastien Wojdan se faufile dans un tunnel peu fréquenté par les artistes de cirque : celui de l’intime, des peurs et des blocages qui nous déchirent. » Le Monde, 2022

 À partir de 10 ans

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Le cirque généreux d’une fanfare-cirque experte en vélo acrobatique

Venir voir (V)îvre, c’est un peu comme aller chez des copains. Sous le chapiteau, on commence par un apéro avec les onze acrobates-musiciens… et on pourrait bien finir avec une trompette entre les mains ! imaginé par la « fanfare cirque » Circa Tsuïca, (V)îvre est un spectacle dans lequel on va pouvoir participer, pour mieux rire et s’émerveiller.

La spécialité de ces artistes, en plus de la musique, c’est le cirque, mention trapèze et vélo acrobatique. D’une scène à une autre, ils campent toute une galerie de personnage pour mieux croquer des moments de vie, et enchaînent les figures, les portés et les mélodies avec une joie communicative. Du cirque festif, musical et collectif !

« Une référence dans le milieu circassien. »  Les Échos, 2018

 À partir de 6 ans

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Entre cirque et musique, 24 artistes qui se jouent de la gravité

Comment joue-t-on de la clarinette à plusieurs mètres de hauteur ? Du saxophone la tête en bas ? De la grosse caisse sur un trampoline ? PIC, c’est une aventure folle qui réunit les musiciens de Surnatural Orchestra, un orchestre de jazz déjanté, et des artistes de cirque aux multiples talents. Ils sont 24 sous le chapiteau, et ensemble, ils dessinent un spectacle total où l’on ne sait plus qui est là pour faire de la musique et qui pour faire du cirque !

Suspendus dans les airs ou affairés autour d’un gigantesque trampoline, ces artistes de haut vol nous mettent volontiers à profit pour construire des tableaux époustouflants ou des instants de pure poésie. Un spectacle qui nous enivre à chaque instant !

« Clique hétéroclite de musiciens, de tous âges et de tous genres, le Surnatural Orchestra ose tout. » Télérama, 2018

 À partir de 6 ans

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Cirque et esprit guinguette : le bal pop’ réinventé

Un bal à l’Espace Cirque ? Oui, mais un bal circassien, pardi ! Sous le chapiteau, six artistes de cirque et sept musiciens nous attendent. À grand renfort de musique et de bonne humeur, ces personnages hauts en couleurs vont nous faire vivre une soirée festive, entre moments de danse et numéros de cirque !

Au son des percussions et de l’accordéon, on rejoint les artistes sur la piste pour danser avec eux le rock, la valse ou la ciranda brésilienne ainsi que de drôles de danses inventées par nos artistes circassiens. Et quand nos pieds sont fatigués, c’est le cirque qui prend le relais : on est heureux de retrouver Pauline et Jeanne, le duo enchanteur de ELLE/S, à la corde aérienne, et d’autres artistes de L’Envolée Cirque à la roue Cyr ou au jonglage. Une soirée de partage et de fête !

 À partir de 6 ans

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Le jonglage dans tous ses états : une création sans limites !

Ne ratez pas la première mondiale d’un spectacle qui a pour ambition d’imaginer un jonglage inédit ! Les Fauves, c’est un projet qui réunit des jongleurs et jongleuses sous un chapiteau monumental et gonflable aux allures de station spatiale. Jonglage en apnée dans un aquarium, jonglage psychédélique, jonglage kung-fu ou jonglage rythmique, les objets vont valser et nos têtes vont tourner !

Dans une ambiance électro-pop assurée en direct par la musicienne Solène Garnier, on se promène à travers l’Espace Cirque pour découvrir, à la façon d’une exposition, des œuvres et numéros qui proposent un regard décalé sur l’art du jonglage. Puis on se retrouve tous ensemble pour une véritable célébration autour du phénomène Wes Peden, jongleur hors normes reconnu dans le monde entier. À ne pas manquer !

« Wes Peden est un prodige – capable non seulement de garder sept massues en l’air, mais aussi de faire rebondir des objets jonglés sur ses avant-bras et de les faire glisser sur ses épaules pendant qu’il tourne. » The New York Times, 2019

À partir de 10 ans

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Avez-vous déjà rêvé de ne faire qu’un avec quelqu’un ? Depuis dix ans, Pauline Barboux et Jeanne Ragu forment un duo fusionnel d’acrobatie aérienne. Si semblables qu’on les croirait jumelles, elles inventent un cirque d’une grande délicatesse, où les prouesses se déploient tout en sensibilité.

Pour ELLE/S, elles ont imaginé une structure monumentale de 289 cordes, tendue dans les hauteurs du chapiteau comme une toile d’araignée. Les yeux rivés vers le ciel, on les regarde évoluer l’une avec l’autre, l’une face à l’autre. Sans jamais poser le pied par terre, elles dessinent une rêverie aérienne où les images d’une beauté à couper le souffle se succèdent. Un spectacle épuré qui nous émerveille et réveille notre âme d’enfant !

Une table en bois, une vieille lampe, et de la sciure blanche un peu partout : dans une ambiance de vieille brocante, trois artistes de cirque et un violoniste touche-à-tout nous invitent à venir nous émerveiller ! Semblant tout droit sortis d’un film de cinéma muet, ils nous font basculer dans un univers où chaque mimique et chaque geste déclenchent le rire, l’émotion et la prouesse.

Poser une bougie sur un château de cartes et l’éteindre au lasso ; grimper sur une échelle pour rattraper la lampe montée en haut du chapiteau ; se réfugier sous une planche pour regarder la sciure tomber comme de la neige… C’est cela Abaque : une succession de petits riens, de situations burlesques et d’images poétiques qui nous surprennent sans cesse. Un hommage au cirque dans toute son humanité.

Écrire un spectacle de cirque sur la question du genre avec six acrobates masculins pouvait sembler risqué. Grâce au formidable travail de la metteuse en scène et des interprètes de Desiderata, c’est une claque artistique qui nous attend : mêlant prouesses acrobatiques et prises de parole intimes, ce spectacle éblouit autant qu’il bouscule et émeut.

Tout en s’engageant dans des pirouettes spectaculaires à la bascule ou au cadre coréen, les six acrobates vont chacun nous raconter leur cheminement personnel. Qu’est-ce qui a fait d’eux les hommes qu’ils sont aujourd’hui ? De quoi ont-ils peur, de quoi ont-ils honte ? Dans une ambiance musicale qui fait le grand écart entre Beyoncé, Anne Sylvestre et Patricia Kaas, on passe sans cesse du rire aux larmes et on est époustouflé par les figures de cirque qui s’enchaînent : une réussite !

Dans son atelier, face à une immense toile posée sur le sol, un peintre nous attend. Il aimerait bien reproduire un tableau de Jackson Pollock, son peintre préféré… Que va-t-il bien pouvoir utiliser pour cela ? Des pinceaux ? Ses mains ? Ses pieds ? Ou même son corps entier ? Très vite, notre artiste se fait acrobate pour faire valser, tourbillonner ou faire gicler la peinture !

Face à ce peintre qui fait tout ce qu’ils n’ont pas le droit de faire, les enfants s’amusent comme des fous… et les adultes aussi ! Équipés de combinaisons blanches étanches, on s’assied tout autour de la toile pour ne pas perdre de vue une seule goutte de peinture. Au croisement des arts plastiques et du cirque, Plock ! est un hymne jubilatoire au plaisir de peindre et de créer !

Des mâts en fer forgé, un plancher en bois, une lumière tamisée : sous le chapiteau du P’TIT CIRK, c’est beau, il fait chaud et on se sent bien ! Quatre garçons et une fille entrent en piste et tentent de tenir debout sur une guitare. Car ces « dodos » sont de drôles d’oiseaux aux talents singuliers : acrobates autant que musiciens, ils utilisent leurs instruments pour faire de la musique, mais aussi comme partenaires d’acrobaties spectaculaires !

La guitare est la star de ce déferlement de prouesses : jonglage, portés acrobatiques, et même pirouettes aériennes, elle devient personnage et acrobate à part entière. Dans une ambiance tzigane où la musique ne s’arrête jamais, on rit de ces expériences parfois absurdes, on est envoûté par un superbe solo de danse, et l’on retient son souffle devant un numéro de voltige aérienne époustouflant. Léger et réjouissant, Les Dodos, c’est le spectacle qu’il nous faut pour bien commencer l’année !

De hauts murs, sombres et mystérieux : c’est elle, la Falaise de Baro d’evel, un décor monumental propice à toutes les apparitions. Un cheval blanc traverse la scène, des pigeons s’envolent, une mariée tente de garder l’équilibre : déboulant de partout, humains et animaux s’emploient à vivre dans cet univers étrange qui ne cesse de se métamorphoser. Mêlant acrobaties, danse et clown, chant lyrique et guitares rock, Falaise est un vrai coup de cœur !

En partenariat avec L’Onde Théâtre Centre d’Art – Vélizy-Villacoublay et le Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines – Scène nationale.

 Une scène aux murs immaculés. Un homme puis une femme, vêtus de noir, font irruption. Entre eux, un corbeau-pie et une infinité de possibles… Camille et Blaï, les fondateurs de Baro d’evel, condensent leurs multiples talents pour délivrer une performance d’une délicatesse inouïe. Jeux théâtraux, métamorphoses, chants et onomatopées : grâce à ses deux interprètes remarquables, ce spectacle nous bouscule, nous bouleverse, nous enveloppe ou nous heurte, pour mieux raconter quelque chose du sens de nos existences.

En partenariat avec L’Onde Théâtre Centre d’Art – Vélizy-Villacoublay et le Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines – Scène nationale.

Jusqu’où aller pour se mettre en danger ? Autoproclamé « champion du monde du plongeon » dans les années 1920, Willy Wolf poussa le risque toujours plus loin, jusqu’à un saut spectaculaire et définitif depuis un pont de 53 mètres de haut. S’inspirant de cette histoire, les six acrobates de La Contrebande vont explorer les limites et l’absurdité de la mise en danger !

Experts en bascule coréenne, discipline spectaculaire propice à la surenchère, ces têtes brûlées se lancent dans une course effrénée à l’exploit le plus fou. Cascades, moto volante et plongeons depuis le haut du chapiteau, leurs prouesses vont toujours plus loin et nous donnent des frissons ! Dans un tourbillon de paillettes, ils s’amusent aussi à se défier au jokari ou aux fléchettes, comme pour mieux nous interroger sur le sens de leur quête. Impressionnant, impertinent et bluffant !

C’est quoi encore ce plan ? Une soirée dans une yourte en plein mois de novembre ? En plus, y’a pas beaucoup de place ! Et le gars qui habite dans la yourte, le Boris, là, il est bizarre ! Sacrément bizarre, même, avec son look de trappeur, sa passion pour le karaoké et son ami sanglier empaillé !

Eh oui, vous avez bien lu : pour la Nuit du Cirque, Boris vous attend sous sa yourte au confort spartiate mais à l’ambiance très chaleureuse. Fan de musique franchouillarde et expert en équilibre sur skis, cet énergumène au look débraillé vous réserve une soirée que vous ne vivrez nulle part ailleurs. On plonge joyeusement dans l’univers loufoque et poétique de ce personnage complètement décalé, à la croisée du cirque, du clown et de l’artisanat !

Si vous aimez les clowns, les vrais, ceux qui font rire toute une salle, alors 3clowns est fait pour vous ! Peau de banane, baffes, tarte à la crème… Marcel, Airbus et Monsieur Lô vont nous régaler de leurs facéties, leurs engueulades et leurs coups fourrés.

Ce spectacle de clown, sur des clowns, par des clowns, relève le pari de nous émouvoir tout en nous faisant rire aux éclats !

Ringardes, les princesses ? En acrobaties et en musique, trois filles et trois garçons du Cheptel Aleïkoum vont vous prouver le contraire ! Cette troupe décalée et pleine d’idées revisite l’imaginaire des contes de fées dans un grand moment de drôlerie, de numéros de cirque et de chansons bien senties.

Ici, les princesses sont de sacrées battantes qui font voler en éclat les clichés : entre acrobaties aériennes, exercices de fakirisme, jeux avec le public et guitare rock, les six artistes nous entraînent dans des séquences toujours plus kitsch et décapantes ! Installés vraiment tout près d’eux, on rit beaucoup et on se laisse bousculer par ces tableaux qui questionnent nos représentations de l’amour, du sexe et de la féminité. Cet automne, c’est sûr, les princesses vont encore faire parler d’elles !

Trente à quarante mètres de fin cylindre d’acier traversent et reconfigurent l’espace. Autant de territoires aériens que Chloé Moglia explore avec une maîtrise sidérante. Complice de l’apesanteur, elle déploie l’intensité de la suspension dans un espace souligné par le vide et dans un temps qui perd sa mesure.

Magnifique performeuse et inventrice de structures de suspension monumentales, Chloé Moglia est une artiste, chère à L’Azimut, que nous avons déjà accueillie à plusieurs reprises lors du festival Solstice et, notamment, avec sa Spire en juin 2021.

Ballade à Quatre est un spectacle de jonglage comme vous n’en avez jamais vu… Non, attendez, c’est un concert comme vous n’en avez jamais vécu…

En fait, c’est les deux à la fois : avec Ballade à Quatre, vous allez découvrir l’art singulier de la jonglerie musicale, inventé par Vincent de Lavenère, jongleur de haut niveau passionné de musique !

Avec ses trois complices, il nous propulse dans un univers de couleurs et de sons où chaque balle correspond à une note et chaque lancé à une nouvelle envolée musicale. Rythmique et mélodique, cette polyphonie visuelle prend corps devant nos yeux, ponctuée par les voix des artistes qui s’amusent aussi à parler et chanter. On est soufflé par cette performance de très haute tenue qui charme nos yeux autant que nos oreilles !

Des gradins en bois, une piste subtilement éclairée et deux musiciens aux allures de dandys… Entrer dans le chapiteau du Cirque Trottola, c’est plonger dans un monde où le moindre détail a un sens. Venus des profondeurs, deux personnages font leur apparition. L’un clown hirsute et gargantuesque, l’autre fine acrobate aux grands yeux, ce couple surprenant nous entraîne dans un univers d’une grande puissance poétique, où les prouesses se dessinent l’air de rien, ponctuées de silences et d’instants suspendus.

Cofondateurs du Cirque Trottola, Bonaventure Gacon et Titoune sont des artistes à la présence magnétique qui nous touchent et nous captent au plus profond. Avec Campana, on les découvre au sommet de leur art : un véritable bijou d’artisanat, de virtuosité et d’émotion !

L’Espace Cirque aux couleurs de la Méditerranée
Pasta, feta et acrobaties sans frontières

Baraka, c’est l’histoire d’une bande d’acrobates avec un projet fou : faire le tour de la Méditerranée avec leur spectacle sous chapiteau, de l’Italie au Maroc en passant par la Grèce. C’est à Antony qu’ils ont commencé à répéter et qu’ils finiront leur tournée : pour leurs dernières représentations, nous avons imaginé avec eux un événement à leur image, tel un voyage autour de la Méditerranée ! Chaque week-end, ils joueront pour nous Baraka, avant d’inviter sur la piste des artistes étrangers croisés au cours de leur périple. Spectacles, concerts, documentaire, exposition, propositions culinaires : un début d’année sous le signe du partage et de la rencontre des cultures !

À partir de 5 ans
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Onze artistes pour une fanfare-cirque à l’énergie communicative

Venir voir (V)îvre, c’est un peu comme aller chez des copains : sous le chapiteau, on est accueilli à bras ouverts par onze acrobates-musiciens, qui ont même prévu de quoi grignoter ! Entre trois cacahuètes et une part de quiche, certains d’entre nous se retrouvent avec une trompette ou un tuba entre les mains : imaginé par la « fanfare cirque » Circa Tsuïca, (V)îvre est un spectacle dans lequel on va pouvoir participer, pour mieux rire et s’émerveiller.

La spécialité de ces onze artistes, en plus de la musique, c’est le vélo acrobatique : une fois l’apéro terminé, on les regarde enchaîner les figures, les portés et les mélodies avec une joie communicative. D’une scène à une autre, on se retrouvera transporté dans une rue de Shanghai avec des vélos qui sortent de partout, ou pris dans des séquences hilarantes de chorégraphies aquatiques ou de domptage de vélo. Du cirque joyeux, festif, musical et collectif !

« Une référence dans le milieu circassien. » Les Échos, 2018

À partir de 6 ans
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Quand le jonglage se fait musique

Ballade à Quatre, c’est un spectacle de jonglage comme vous n’en avez jamais vu… Non, attendez, c’est un concert comme vous n’en avez jamais vécu… En fait, c’est les deux à la fois : avec Ballade à Quatre, vous allez découvrir l’art singulier de la jonglerie musicale, inventé par Vincent de Lavenère, jongleur de haut niveau passionné de musique !

Avec ses trois complices, Vincent de Lavenère nous propulse dans un univers de couleurs et de sons où chaque balle correspond à une note et chaque lancé à une nouvelle envolée musicale. Rythmique et mélodique, cette polyphonie visuelle prend corps devant nos yeux, ponctuée par les voix des artistes qui s’amusent aussi à parler et chanter. On est soufflé par cette performance de très haute tenue qui charme nos yeux autant que nos oreilles !

« Artiste atypique, voyageur au long cours, (…) Vincent de Lavenère marie les arts pour inventer un langage particulier, la jonglerie musicale. » La Terrasse, 2014

Tout public
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Un cirque de l’étrange et du merveilleux

On aime tous jouer à se faire peur ! Ça tombe bien : sous le chapiteau de Des bords de soi, on commence par une promenade façon visite d’un musée des horreurs. Entre deux bocaux de formol, on distingue des silhouettes à plusieurs têtes ou aux doigts coupants comme des ciseaux, clins d’œil à l’univers des films fantastiques. Plus surprenants que vraiment effrayants, ces drôles de personnages vont ensuite se lancer dans d’étonnantes performances de cirque, à savourer en famille dès 9 ans !

Fil, mât chinois, contorsion, sangles ou roue Cyr : sur un plancher qui réserve bien des surprises, les cinq artistes enchaînent les tableaux acrobatiques et dansés, dans un spectacle hypnotique où l’étrangeté est reine. Marlène Rubinelli-Giordano a longtemps codirigé le Collectif AOC, une compagnie qui a contribué à réinventer le cirque contemporain en France. Elle signe ici une envoûtante ode à l’imaginaire, où l’expérience acrobatique s’habille d’une grande beauté plastique.

À partir de 9 ans
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Des gradins en bois, une piste subtilement éclairée et deux musiciens aux allures de dandys… Entrer dans le chapiteau du Cirque Trottola, c’est plonger dans un monde onirique où le moindre détail a un sens. Venus des profondeurs, deux personnages font leur apparition. L’un clown hirsute et gargantuesque, l’autre fine acrobate aux grands yeux, ce couple surprenant nous entraîne dans un univers où les prouesses se dessinent l’air de rien, ponctuées d’instants suspendus. Équilibre métaphysique sur une échelle instable, prouesses au trapèze d’une créature nocturne, tentative d’ascension d’un agrès monumental : autant d’apparitions inattendues, d’une grande puissance poétique.

Cofondateurs du Cirque Trottola, Bonaventure Gacon et Titoune sont des artistes à la présence magnétique qui nous touchent et nous captent au plus profond. Après Matamore, présenté en 2014 à l’Espace Cirque d’Antony, ils nous offrent un spectacle au savoir-faire unique, véritable bijou de virtuosité et d’émotion.

Acrobaties et témoignages pour un spectacle puissant sur le burn-out

Avec Burning, l’acrobate Julien Fournier réussit la prouesse d’un spectacle de cirque à la fois documentaire et onirique, qui évoque sans pathos la question de la souffrance au travail. Pour cela, il a demandé à Laurence Vielle d’écrire un texte à partir de témoignages : ceux d'une chercheuse en sociologie du travail, de victimes de burn-out, d'une mère de famille ou encore d'un chef d'entreprise.

Ces témoignages, c’est par une bande-son poétique scandée par Laurence Vielle qu’on les découvre, tandis que sur scène, un homme se démène pour déplacer et empiler des cartons sans logique apparente. Lorsque son environnement se modifie peu à peu, il doit redoubler d’efforts et d’acrobaties pour s’adapter… Un spectacle qui met des mots et des images sur l’un des fléaux de notre époque et s’ouvre sur un horizon dégagé, libéré.

Duo de clowns en harmonie entre musique et cinéma

Visages blanchis et très gros nez rouges, elle en robe à pois, lui en chemise à carreaux, Bibeu et Humphrey font leur entrée sur la piste circulaire, au milieu des gradins. Un peu sans-gêne, Bibeu n’hésite pas à s’asseoir près de vous ; très maladroit, Humphrey manquera de tomber plus d’une fois. Mais ces deux touche-à-tout ont plus d’une pitrerie dans leur sac : musiciens éclairés, cinéastes pointus, ils nous racontent peu à peu une histoire intime et poétique qui n’appartient qu’à eux.

Duo de clarinette et accordéon, projection d’images sur des écrans improvisés, attractions cinématographiques inattendues : par petites touches, Bibeu et Humphrey se racontent, partagent leurs films de famille et questionnent l’air de rien notre rapport à l’image. Tout en humour et en délicatesse, ce duo profondément attachant nous offre un vrai moment de partage. 

Un solo hypnotique qui bouleverse vos sens

De l’extérieur, c’est comme une gigantesque boîte de conserve. Ou une station spatiale. Boris Gibé, lui, l’appelle « Le Silo » : une structure de tôle sur quatre étages, conçue comme un silo à grains, pour uniquement cent spectateurs.

À l’intérieur, tous vos repères sont modifiés. Placés tout autour d’un grand trou noir, vous voilà prêts pour une expérience de cirque unique en son genre. Boris Gibé, acrobate aux allures de grand échalas, surgit de nulle part et vous entraîne dans une performance au croisement du cirque, de la danse et des arts plastiques. Il y aura de la terre, du feu, de l’eau ; il y aura du risque, du vertige et une quête métaphysique. Le reste ? À vous de le découvrir : pour goûter pleinement L’absolu, l’effet de surprise est essentiel.

Dix acrobates et trois musiciens pour une puissante envolée rock

Sous l’immense chapiteau rouge, trois musiciens commencent à jouer. Apparaissent dix acrobates aux dégaines de rockers : vestes en cuir, manteau de fourrure et mini-jupes, ils nous invitent à une traversée nocturne où des personnages se croisent, se rencontrent, s’étreignent, se battent… et surtout s’envolent dans les airs.

Héritiers de la célèbre compagnie des Arts Sauts, les acrobates du CirkVOST ne cessent de réinventer la tradition du trapèze volant et de la voltige. Ici, ils redessinent l’espace et explorent de nouvelles possibilités : de combats chorégraphiés au sol en acrobaties sur cadres, ils gagnent progressivement les hauteurs du chapiteau pour de superbes figures de voltige aérienne. Dans une atmosphère électro-rock de guitares saturées, les corps s’envolent, se rattrapent et tourbillonnent à un rythme effréné, nous laissant bouche bée.

Un grand spectacle rock et fulgurant.

Huit jeunes talents pour un « concert de cirque » festif et chaleureux

Ils viennent de Suède, de Finlande, de France ou du Danemark, ils sont diplômés des meilleures écoles européennes de cirque et, surtout, ce sont de vrais amoureux du cirque, de la piste et du chapiteau. Ensemble, ces huit artistes ont conçu un spectacle foisonnant et débordant d’énergie : un « concert de cirque» où la musique et les acrobaties se mélangent à une vitesse folle et ne s’arrêtent jamais.

Trapèze, corde, roue Cyr, bascule, portés acrobatiques : sous leur grand chapiteau, nos huit « acrobates couteaux suisses » enchaînent les numéros au son du saxophone, de la clarinette ou du ukulélé. À plusieurs autour d’une corde à sauter, les uns sur les épaules des autres, en duo la tête en bas, ces touche-à-tout en marinière et legging à paillettes signent une performance collective enthousiasmante. Le spectacle qu’il vous faut pour un automne regonflé à bloc !

Un fildefériste en toute intimité

Un fil de 7 mètres de longueur, de 12,5 millimètres de diamètre, et vous, assis très près de chaque côté : c’est avec vous que le fildefériste Arthur Sidoroff veut construire ce spectacle « sans paillettes », qui repose sur votre présence et vos regards. Comme si vous étiez dans son atelier, vous découvrirez un artiste aussi doué que sensible : accompagné en direct à la guitare électrique, voilà un moment de cirque précieux, brut et plein d’humanité.

Ode acrobatique au paysage qui nous entoure

Recroquevillés sur le sol, une fille et un garçon semblent en état d’hibernation. Lorsqu’ils se réveillent, tout ce qui les entoure est prétexte à l’émerveillement. Et, bien sûr, aux figures acrobatiques ! Avec une joie enfantine, le duo multiplie les prouesses pour mieux dialoguer avec son environnement… jusqu’à ce qu’une drôle de machine entre en scène. Des artistes parmi les plus prometteurs de la nouvelle génération.

Équilibriste en terrain très peu stable

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Nicolas Fraiseau n’aime pas trop la facilité : c’est dans un coin du parc recouvert d’un plancher mouvant qu’il choisit d’installer un mât… aussi solide qu’un pied de parasol ! Peu importe : notre équilibriste têtu va peu à peu réussir l’exploit de grimper, glisser, tourner sur ce mât très « instable ». Portée par un interprète espiègle, une performance tout-terrain jubilatoire qui renouvelle le genre du mât chinois.

Duo de cirque autour d’une voiture renversée

Une voiture renversée, les roues qui tournent encore et l’autoradio qui joue Perfect Day de Lou Reed : le crash vient d’avoir lieu. Ouf, les occupants sont bien vivants : une femme s’extrait par la fenêtre, puis c’est un homme qui apparaît. Vacillant, titubant, les voici qui tentent de retrouver leur équilibre, sur la terre, sur la voiture ou sur le corps de l’autre. Tandis que nous découvrons peu à peu leur histoire, une chorégraphie intime et poétique s’engage.

Écrin de toile pour rêve de cirque à ciel ouvert

Dans un écrin de toile, de bambou et de bois à ciel ouvert, quatre acrobates s’élancent sur leur « double fil rotatif », une machine métallique à deux fils d’équilibriste tournant sur elle-même. Dans une ambiance musicale de road-movie américain, tous ensemble, en duo ou séparément, ils nous offrent une performance brute et organique, véritable invitation au rêve, au voyage et à l’échange.

Trois individus évoluent dans un espace circulaire où le sol se meut au gré du vent. Portés par la musique de l’un, les corps usent d’agilité et de défis pour jouer avec la gravité, s’élever, s’offrir à l’autre, se confondre.

Étroitement liés, les mouvements et les sons entrent en fusion pour un moment suspendu. Une évolution aérienne, entre équilibres, contrepoids et imbrications des corps, une danse où l’une ne tient pas sans l’autre. Tout en lenteur, les corps dessinent des évolutions acrobatiques, poétiques, qui font de ce duo une allégorie du caractère symbiotique du Lichen.

Grande roue vertigineuse pour deux acrobates et un musicien

Qu'est-ce que c'est, cette impressionnante structure à deux roues s'élevant jusqu'à 10 mètres au-dessus du sol? Dans la tradition des fêtes foraines d'antan, on appelle ça la "roue de la mort" : un nom qui ne fait pas peur à nos deux acrobates déjantés et à leur complice musicien. Ils nous embarquent pour 35 minutes de transe acrobatique franchement hypnotique. Des sensations, de l'action, du danger : du grand spectacle pour coeurs bien accrochés !

Ce sont cinq très grands cubes d'un blanc immaculé qui semblent sortir de terre, comme un iceberg échoué sur le stade. Pieds et mains nus, un homme tente de trouver son chemin à travers cet archipel aux multiples embûches : sauts, équilibres, glissages imprévues et tentatives de rattrapage, observez-le mener cette étrange et belle aventure acrobatique! À la croisée du cirque et des arts plastiques, FLOE est un concentré d'imaginaire et de poésie.

Gueule tordue, barbe hirsute, nez rouge et yeux lunaires, le Boudu débarque sur scène comme un ivrogne débarque au bar du coin. Lui, ce qu’il aime, c’est dévorer les petites filles qu’il croise sur son chemin ; mais aussi regarder les couchers de soleil en sirotant un petit verre. Ogre, clown ou poète, allez savoir, le Boudu, c’est peut-être tout ça à la fois : un type étrange qui marmonne dans sa barbe, un zigue insaisissable, incontrôlable, prêt à tout casser en un tour de main. Ou peut-être juste un humain, trop humain, le Boudu…

Créé et interprété par Bonaventure Gacon, le Boudu est un personnage hors norme qui parcourt les routes de France depuis bientôt vingt ans. Sa présence scénique unique en fait l’un des plus grands clowns qui existent : sens du trivial et vrais instants de grâce, Par le Boudu est un spectacle exutoire qui rend à l’art du clown toutes ses lettres de noblesse.

« C’est absolument magistral. Ce monologue clownesque, créé en 2001, est tellement réussi qu’il tourne encore. Déconseillé aux enfants. » Télérama Sortir, 2013

L’un enchaîne les acrobaties sur son vélo, l’autre se balance au bout de ses sangles dans les hauteurs du chapiteau. Comment faire dialoguer deux disciplines de cirque qui n’ont a priori rien à voir ?

Récemment sortis du Centre National des Arts du Cirque, Jean Charmillot et Jérôme Galan relèvent le défi dans Vol d’usage, un vrai bijou de spectacle. Perchés à deux sur le vélo ou en suspension au-dessus du public, ils inventent un nouveau langage constitué de figures étonnantes et de spirales tourbillonnantes. Tout en complicité, leur duo qui brave les lois de la pesanteur nous offre autant de prouesses inédites que d’instantanés poétiques. Sur la piste en bois, c’est une vraie rencontre qui se produit : créé par deux jeunes acrobates aussi doués que sympathiques, ce premier spectacle très réussi est un concentré de drôlerie, de poésie et de légèreté.

« Un instantané de liberté planante. » Les Trois Coups, 2017

« Invention et maîtrise s’allient ici pour faire décoller grands et petits vers un monde de légèreté. Rafraîchissant ! » La Vie, 2018

Depuis bientôt dix ans, Sans objet enchante les spectateurs partout où il passe, en France, en Chine, en Russie ou aux États-Unis. La star de ce spectacle ? Un robot au bras articulé, utilisé par l’industrie automobile dans les années 70. Sorti de l’usine par Aurélien Bory, créateur génial et inclassable, le robot joue son propre rôle face à deux acrobates en costume-cravate. Ensemble, les trois interprètes engagent un spectaculaire pas-de-trois, en une succession de tableaux acrobatiques tour à tour tendres, drôles ou inquiétants.

Entre humour, onirisme et prouesses acrobatiques, Sans objet questionne avec subtilité notre rapport à une technologie toujours plus omniprésente. Un spectacle sans parole, d’une grande puissance visuelle, où le plus humain n’est peut-être pas celui que l’on croit.

« Sans objet croise l’art et la mécanique, la logique du rêve et de la technique en s’amusant de tous les scénarios (…) Une fois encore, Aurélien Bory épate. » Le Monde, 2010

« De l’humour, une tonne d’idées et beaucoup d’incongru. » Le Figaro, 2010

Avec Sous la toile de Jheronimus, les Colporteurs relèvent un défi inédit : mettre en piste Le Jardin des délices, le tableau le plus connu du peintre néerlandais Jérôme (Jheronimus) Bosch. Réalisée au tout début du XVIe siècle, l’oeuvre nous propose une traversée fascinante depuis la création du monde jusqu’à la dérive de l’humanité, prise en étau entre Paradis et Enfer.

Sous le chapiteau des Colporteurs, c’est l’essence même de cet univers étrange qui nous est donnée à voir. Funambule aux allures de Mère Nature, acrobates croquant la pomme, apparitions diaboliques… À six artistes et deux musiciens, les Colporteurs inventent un langage mêlant acrobaties, vidéo, costumes excentriques et musique en direct. Une palette de couleurs pour dessiner une rêverie de cirque à la hauteur du tableau de Bosch, entre poésie, humour, grotesque et haute voltige.

« Une des compagnies phares du nouveau cirque. » Le Figaro, 2013
« Une représentation de haute volée. » La Voix du Nord, 2017

Résidence de création à l’Espace Cirque d’Antony d’août à octobre 2016

Sur l’air de Casta Diva chanté par Maria Callas, trois femmes en longue robe dorée nous accueillent. Ne vous fiez pas à leur apparence : inspiré du mythe de Penthésilée, la reine des Amazones qui dévora Achille, La DévORée met en pièces l’image traditionnelle de la femme de cirque. Sur le fil, dans les airs ou sur terre, de corps-à-corps en combats sans merci, les cinq acrobates et les trois musiciens s’engagent dans une fable cruelle et carnassière dont nul ne sortira indemne.

Fille, petite-fille et arrière-petite-fille d’artistes, Marie Molliens a pris les rênes du cirque Rasposo, compagnie majeure du nouveau cirque fondée par ses parents. Avec La DévORée, elle impose son style au parti pris tranché, entre force du propos, parfaite maîtrise des techniques du cirque (trapèze, voltige aérienne, fil, hula hoop) et tableaux d’une beauté à couper le souffle. Une réussite, à réserver à un public averti.

« Entre sang et paillettes, un élan de passion irréversible assumé jusqu’au bout. » Le Monde, 2017

En partenariat avec L'Onde, Théâtre Centre d'art de Vélizy-Villacoublay

Les machines merveilleuses d’un artiste inclassable

Connaissez-vous Johann Le Guillerm ? Ce génial touche-à-tout, diplômé de la première promotion du Centre National des Arts du Cirque, développe depuis trente ans une œuvre bien à part dans le cirque contemporain. À la fois scientifique, inventeur, jongleur, équilibriste, clown, l’homme au crâne rasé et aux deux longues tresses brouille les pistes pour proposer des spectacles qui ne ressemblent qu’à lui. SECRET, création en perpétuelle évolution depuis 2001, est une véritable odyssée qui le met aux prises avec d’étranges dispositifs : qu’il escalade une montagne de dominos, chevauche un escargot géant ou construise un enchevêtrement de mikados monumentaux, Johann Le Guillerm fascine dans tout ce qu’il approche.

« Dès ses débuts, les superlatifs lui sont tombés dessus. Il a même été surnommé le « Léonard de Vinci du cirque », en raison de son inventivité, de son goût pour les machines extraordinaires, de son talent de constructeur, de son univers à la croisée de l’art et de la science et de sa virtuosité. » Le Monde, 2017

En partenariat avec L’Onde Théâtre centre d’art Vélizy-Villacoublay et le Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines Scène nationale 

Rendez-vous féerique avec une tribu d’hommes et de bêtes

Entrer dans le chapiteau de Bestias, c’est comme entrer dans un rêve éveillé : sur la toile, les dessins de figures enchantées se succèdent, tandis qu’au détour de la piste, on devine l’ombre d’un cheval. Une fois installé, c’est avec une vraie tribu que vous ferez connaissance : une jeune femme à la poursuite de ses perruches, un acrobate tout droit sorti de la commedia dell’arte, un Monsieur Loyal ébouriffé, une chanteuse un peu peureuse, d’étranges créatures de paille ou encore un cheval qui se cabrera… s’il en a envie ce jour-là. Au total, ce sont sept artistes, une enfant, deux chevaux, trois perruches et un corbeau-pie que vous verrez en piste : dans une remarquable osmose, ils nous offrent un spectacle total, entrelaçant musique, portés acrobatiques, danse et images poétiques. Un voyage onirique et une ode à la sauvagerie : qui des hommes ou des animaux finira par mener la danse ?

« Une pure merveille ». Elle, 2015

« Un enchantement. » Libération, 2015

« La magie opère à l’évidence. » Les Échos, 2015

Entre poésie et prouesses, un concert piano-voix sublimé par le cirque

Une voix chaude et des mélodies aériennes où les chants traditionnels arabes se mêlent aux sons presque électroniques du piano : en trois albums, le musicien franco-libanais Bachar Mar-Khalifé, fils de Marcel Khalifé, a acquis une renommée internationale. Séduit par son univers, l’artiste de cirque Gaëtan Levêque a eu une idée folle : imaginer un concert d’un genre nouveau, où la musique et le cirque se rencontreraient pour ouvrir de nouveaux possibles. Autour du piano, ce sont donc sept acrobates, issus de la fine fleur du cirque contemporain, qui mettent en corps la musique de Bachar Mar-Khalifé. Duo de portés acrobatiques sur une tendre ballade, numéro de fil au son d’une berceuse envoûtante, envolée sur un mât chinois quand le piano s’emballe… Dans le cadre magique du chapiteau en bois du Plus Petit Cirque du Monde, musique et pirouettes nous emmènent vers des sommets de poésie.

« Empreint d’une mélancolie âpre et indocile, sombre et lumineux à la fois, l’univers de Bachar Mar-Khalifé bouleverse par sa densité émotionnelle. » Le Monde, 2016

En partenariat avec le plus petit cirque du monde de Bagneux (Lieu du spectacle)  

Ballet acrobatique sur sol en suspension

Du jamais vu au théâtre : c’est le sol qui nous tombe sur la tête ! Depuis le haut de la cage de scène, à plusieurs mètres au-dessus de nous, un gigantesque plateau en bois entame sa descente. Sur cette scène, trois hommes et trois femmes, endormis, qui glissent dangereusement vers le vide : vont-ils tomber sur nous ?

Venu du cirque, Yoann Bourgeois est sans nul doute l’un des artistes les plus doués de sa génération : avec Celui qui tombe, il a réalisé l’inimaginable, en utilisant le sol comme un agrès, monumental, mobile, imprévisible. De ce début majestueux, sur l’air d’une symphonie de Beethoven, s’engage un fascinant dialogue entre le sol et six interprètes d’exception, en lutte permanente pour garder l’équilibre. Entre poésie et prouesses, une succession de tableaux à couper le souffle.

« Un ravissement au bord du vide. » Les Inrocks, 2014

« On est saisi par la puissance des images. » Le Figaro, 2014

Dans un halo de lumière colorée, trois êtres à la tête plongée dans des blocs de béton nous immergent dans un flot de textes, de musique et de glissades vertigineuses au mât chinois. Le clown-acrobate Moïse Bernier et deux musiciens nous offrent un cri d’amour rock à la vie et à ses écarts.

« Une création puissante, cernée de bruit et de fureur. » Télérama Sortir, 2016

En partenariat avec le Théâtre de Châtillon et le Plus Petit Cirque du Monde

Aussi au programme de 100% Galapiat Cirque :

Capilotractées Jeu 9 nov à 20H30 et Sam 11 nov à 17H / Théâtre La Piscine

BOI Jeu 9 nov à 20H30 et Sam 11 nov 19H / Plus Petit Cirque du Monde

Marathon Ven 10 nov 19H30 et Dim 12 nov 15H / Théâtre de Châtillon

Concert Circassien Ven 10 nov à 22H / Théâtre de Châtillon

ParasiteS Sam 11 à 21H et Dim 12 à 17H30 / Théâtre La Piscine 

Une cavalcade, une course folle, un déchaînement de numéros : seul en scène, Sébastien Wojdan se fait tour à tour jongleur, fildefériste, saxophoniste ou danseur, et ne recule devant aucun risque, du lancer de couteaux à la hache qu’il pose en équilibre sur son front… Une prestation virtuose.

« Un émouvant mélange de hardiesse et de doute. » Libération, 2015

En partenariat avec le Théâtre de Châtillon et le Plus Petit Cirque du Monde

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Capilotractées Jeu 9 nov à 20H30 et Sam 11 nov à 17H / Théâtre La Piscine

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Concert Circassien Ven 10 nov à 22H / Théâtre de Châtillon

ParasiteS Sam 11 à 21H et Dim 12 à 17H30 / Théâtre La Piscine 

Des bûches, du bois, une bouteille de rouge : dans BOI, on est rustique et on l’assume ! Avec un musicien à chaque fois différent, l’acrobate Jonas Séradin invente un moment de cirque brut et sans fioritures. Aussi risqué qu’enivré !

« Une variation autour du bois (…) où l’homme boit la frénésie de sa vie jusqu’à la lie ». La Terrasse, 2015

En partenariat avec le Théâtre de Châtillon et le Plus Petit Cirque du Monde

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Concert Circassien Ven 10 nov à 22H / Théâtre de Châtillon

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Attention, OVNI : les Finlandaises Elice (la brune) et Sanja (la rousse) ont remis au goût du jour une pratique oubliée du cirque qui consiste à se suspendre… par les cheveux ! Accrochées par le chignon, les deux jeunes femmes enchaînent les poses tout au long d’un spectacle déjanté et plein d’humour. Stupéfiant !

« Un spectacle détonnant et vivifiant. À ne pas rater. » Les Échos, 2015

En partenariat avec le Théâtre de Châtillon et le Plus Petit Cirque du Monde

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Capilotractées Jeu 9 nov à 20H30 et Sam 11 nov à 17H / Théâtre La Piscine

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Concert Circassien Ven 10 nov à 22H / Théâtre de Châtillon

ParasiteS Sam 11 à 21H et Dim 12 à 17H30 / Théâtre La Piscine 

Deux générations sur la piste pour tenir debout ensemble

Le cirque, une affaire de jeunes ? Oui, mais pas que ! Sous le chapiteau rouge de L’Envolée Cirque, deux générations vous attendent. Pauline et Jeanne, jeunes acrobates, diplômées de l’Académie Fratellini, sont spécialistes de danse aérienne sur « Quadrisse », un agrès aérien constitué de quatre fines cordes noires. Michèle et Laurent, fildeféristes sur fil souple, sont en quête de l’équilibre depuis des années. En compagnie d’un violoncelliste et d’un clarinettiste, c’est tous ensemble que ces artistes généreux vont explorer les multiples manières de trouver l’équilibre... et de le déconstruire. Debout sur un cercle mobile, dans les airs à l’aide de cordes, en suspension sur des fils, les uns sur les épaules des autres… Entre pirouettes et facéties, poids et contrepoids, c’est avec des agrès qu’ils ont eux-mêmes inventés que prend corps leur univers joyeux, musical et solidaire. Un spectacle plein d’entrain à lire comme une célébration des liens entre générations, ou simplement entre êtres humains.

[Temps Fort Cirque]

Une urgence effrénée de parler au public, de grimper tout en haut d’un mât, de jouer de la guitare-basse, du saxophone ou de la harpe, de se laisser tomber du mât, de remonter, de se donner tout entier : voilà ce qui anime les quatre jeunes interprètes du Vol du rempart, spectacle engagé, nerveux et brut de décoffrage. 

Entre frénésie collective et instants de grâce suspendue, Le Vol du rempart est un appel à la vie, à la liberté, à l’expression de chacun.

Du 3 au 26 mars 2017 à l'Espace Cirque d'Antony

+ d'infos

Mais non ! Il n'y a pas de spectacle ici !

C'est ce que voudrait nous faire croire le garçon de piste de cet étrange cirque. Tous les artistes de la troupe ont disparu ! Jonglage, musique, clown... Avec une virtuosité sans limites, notre garçon de piste devient un cirque à lui tout seul.

Une formidable et délicate déclaration d'amour au cirque traditionnel.